Joel N. Knight // Élu // Loup.



 

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  • 07 novembre 2018NOUVEAU DESIGN - L'hiver arrive sur Instincts !
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  • 15 août 2018Ouverture de la partie jeu.
  • 01 août 2018Ouverture générale du forum et des inscriptions.
  • 03 juillet 2018 Création du forum.
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Joel N. Knight // Élu // Loup.

Joel N. Knight
Age : 41
Lettres déposées : 154
Anima : Loup
Métier : Fermier / boxeur professionnel.
Crédits : Ava (Hoodwink)





Joel N. Knight
Affranchi
Mar 31 Juil - 21:38
Nom/Prénom : Joel Nathan Knight.
Type de personnage : Inventé.
Espèce souhaitée : Élu.
Faction souhaitée : Affranchi.
Avatar souhaité : Sebastian Stan.
Anima souhaité : Loup.
Capacités du personnage :

. « Guérison lunaire » Le loup est lié à la lune de façon spirituelle, de ce « fait », lorsqu’il y a la pleine lune, il lui est possible de se soigner de façon plus efficace (plus rapide), surtout les blessures morales, psychiques mais aussi physiques. (à juste mesure, pour mon personnage, ce serait juste des petites plaies /bleus, coupures etc, il peut pas faire repousser de membres, ni se soigner un organe etc).

. « Communication universelle » Le loup communique beaucoup, par les cris, le regard, leur gestuelle, les grognements, etc. Dans cette idée, l’élu a la capacité de connaître instinctivement un langage même s’il ne l’a pas appris. Il arrive plus facilement à comprendre et déchiffrer les émotions sur les visages.

. « Empathie du loup » L'élu possède une empathie plus ou moins puissante, ce qui lui permet de ressentir ce que l'autre ressent. Ça peut l'aider à soutenir les autres comme le font les loups au sein de la meute.



Vos nombres de mots ou de lignes effectuées lors d'un RP : entre 700/800 et 1000+ mots.


Avez-vous des questions ? Tu sais comment je m'appelle.
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Les Anciens
Lettres déposées : 236





Les Anciens
Administrateur
Sam 4 Aoû - 22:39


Félicitations Joel N. Knight !

Les administrateurs d'Instincts ont le plaisir de t'annoncer que ton idée de personnage a été retenu et validé. Ainsi, tu peux donc dès à présent procéder à ton inscription en utilisant le code se trouvant ci-dessous et en le postant à la suite de ton sujet.

Une fois ton inscription terminée, tagues-nous pour nous le signaler de cette manière :
Code:
@"Les Anciens"



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Joel N. Knight
Age : 41
Lettres déposées : 154
Anima : Loup
Métier : Fermier / boxeur professionnel.
Crédits : Ava (Hoodwink)





Joel N. Knight
Affranchi
Sam 4 Aoû - 23:27
JOEL NATHAN KNIGHT

35 + 13/03/1983
Ecossais
Affranchi
Elu du loup
Boxeur pro (ancien militaire)
Célibataire
Homosexuel
Sebastian Stan


Meet me
LOUP
Fenrir, ce vieux loup a choisi l'apparence d'un loup brun. Sa fourrure varie entre le brun, le roux et le blanc. Il choisit ses élus quand il sent une grande détresse. Son ancien élu était malade et lorsque celui ci en est mort, il a choisi Joel en sentant ses appels au secour. Le loup est un anima très sage et très empathique. C'est un animal intelligent qui repose beaucoup sur son instinct. Il fera toujours tout pour veiller au bien de sa meute, et ici de son élu.

Le loup porte une aura positive et une aura négative. Son aura négative est un sentiment constant de rejet. De se sentir comme le loup dans la bergerie. Ce qui donne l'impression d'être menacer par le monde qui l'entoure.  



Capacités

« Guérison lunaire » Le loup est lié à la lune de façon spirituelle, de ce « fait », lorsqu’il y a la pleine lune, il lui est possible de se soigner de façon plus efficace (plus rapide), surtout les blessures morales, psychiques mais aussi physiques. (à juste mesure, pour mon personnage, ce serait juste des petites plaies /bleus, coupures etc, il peut pas faire repousser de membres, ni se soigner un organe etc).

« Communication universelle »
Le loup communique beaucoup, par les cris, le regard, leur gestuelle, les grognements, etc. Dans cette idée, l’élu a la capacité de connaître instinctivement un langage même s’il ne l’a pas appris. Il arrive plus facilement à comprendre et déchiffrer les émotions sur les visages.

« Empathie du loup » L'élu possède une empathie plus ou moins puissante, ce qui lui permet de ressentir ce que l'autre ressent. Ça peut l'aider à soutenir les autres comme le font les loups au sein de la meute.


Biographie

“I used to keep my dark a secret
I used to keep my heart in pieces
He said he liked me better as a mess
He said he wants to save me from myself
Lay me down in the river.

Une forêt dense où les arbres étaient à perte de vue, où la lumière du soleil reflétait seulement à travers les feuilles était planté là, devant un petit garçon, droit comme un i, paniqué, perdu. Le petit garçon tremblait autant que les feuilles à travers le vent et alors que ses dents claquaient il tentait d’appeler sa mère pour qu’elle vienne le sauver. Mais à la place, un loup, qui lui semblait immense à côté de lui qui faisait à peine un mètre de haut, se tenait devant lui, tout près de son petit visage. Et alors que ses grands yeux le fixaient, penchant entre la peur et la curiosité. Le loup lui, de sa fourrure complètement blanche, le fixait de ses pupilles, pas un son sortait de sa gorge, il n’y avait que leur regard qui communiquait. Ce regard finit même par rassurer le gamin sans même qu’il n’en prenne conscience, son corps commençant doucement à éliminer la peur et à ne plus trembler. Puis finalement, il ouvrit les yeux et le gamin se retrouva à nouveau dans sa chambre. Sonné, il essuya ses yeux humides, renifla puis reprit le temps de regarder autour de lui. Se rendant enfin compte qu’il n’avait fait que rêver, encore une fois. Mais ça lui semblait si vrai, il ne pensait qu’à ça, plus qu’à ça. Au loup. Il le dessinait de ses gribouillages d’enfant, les accrochait à son mur. Mais aujourd’hui, il était décidé, il allait voir dans la forêt. Le minot ne savait pas ce qu’il y cherchait, il avait juste l’impression que le loup était réel. Se levant du lit, il courut directement dans la chambre de son frère qui dormait encore, le secouant pour le réveiller, il n’eut aucune réponse autre que des grognements. Le petit garçon finit par abandonner se dirigeant alors vers le salon, à la recherche de leur parent. Personne, il chercha dans toutes les pièces, une par une, il ouvrait énergiquement les portes. Les deux parents étaient au travail, il n’était pas rare qu’ils les laissent seuls à la maison, le plus grand s’occupant de son petit frère. Mais là, ils n’avaient pas prévu qu’il se lève si tôt.

Seul, il ne quittait pas son idée en tête alors Joel fit son petit sac à dos, y mit un sandwich qu’il s’était préparé maladroitement laissant la porte du frigidaire ouverte, il y avait mis un livre et une lampe de poche. Paré à l’aventure, le gamin s’enfuit de la maison se mettant à courir comme un fou dans la rue, cherchant son chemin jusque la forêt. Mais une fois devant, le petit commençait à avoir peur, il était tout seul devant des arbres qui faisait bien cinq ou six fois sa taille. Mais il ne renonça pas, il avait inspiré grandement, encore habillé de son pyjama. Il avait fermé les yeux, puis d’un air déterminé il partit alors à l’aventure dans les bois. Marchant sans même savoir où il va, il ne prend aucun repère pour retrouver son chemin, bien trop naïf pour penser à ce genre de chose. Après tout, ce n’était qu’un enfant qui n’était pas sous surveillance. Évidemment, son absence à la maison se fit remarquer, son frère sûrement paniqué avait appelé leur parent. Ces derniers avaient vite quitté leur travail en urgence. Pendant ce temps-là, le gamin ne se rendait pas encore compte qu’il était complètement perdu, continuant de s’enfoncer au milieu des arbres. Mais il ne trouvait rien du tout et le silence ambiant commençait à lui faire peur, le moindre bruit de branche était un sursaut, le moindre insecte était un cauchemar. En panique, il avait fini par arrêter de bouger et se rouler en boule contre un arbre et à pleurer. Personne n’était ici et certainement aucun loup ne viendrait ici. De l’autre coté de la forêt, dans le centre-ville, les parents et les voisins se mirent à le chercher partout, à demander si quelqu’un l’avait vu et le chanceux était passé devant un papi qui l’avait vu courir comme un fou vers la forêt. Bien une heure après on retrouva sa trace à l’aide d’un papier de biscuit qu’il avait laissé tomber par terre. Sa mère arriva alors à son niveau et se baissa à son niveau tentant de calmer le gamin qui pleurait à chaude larmes depuis un bon moment. Se blottissant dans les bras de sa mère, il tentait de se calmer sans expliquer quoi que ce soit. Parce que même s’il venait certainement de lui faire la peur de leur vie, ils allaient le punir et le gamin en était conscient, alors il n’avait pas envie d’expliquer pourquoi il était parti, parce qu’on le réprimanderait et ça, ça lui fait peur. Il détestait ça. Les Knight sont une famille de militaire qui ne jure que par la discipline. Alors être turbulent n’était pas très admis sous leur toit.

Une fois à la maison, le gamin de sept ans dû subir les leçons de moral de son père et sa mère pendant un long moment, tout comme son frère qui prenait pour lui. Écoutant les paroles de ses parents, il n’arrêtait pas de pleurer, encore et encore. Joel était un gamin un peu difficile et différent de son grand frère. Il avait besoin d’un peu plus d’attention. Et malheureusement, ce ne fut pas sa seule fugue pour les années qui suivirent, s’il ne courrait pas après ses rêves, il se rebellait tout simplement, se sentant comme un loup en cage dans leur maison, il avait besoin de sortir, de courir, de crier, de rire. Parce que même si les Knight voulaient le meilleur pour leur enfant, c’était à leur façon et selon leurs règles. Et même si le gamin voulait leur plaire et qu’ils soient fiers de lui, il n’arrivait pas à rentrer dans le moule.

"Mama, fight my teenage dreams
No, it's nothing wrong with me
The kids are all wrong the story's aloof
Remember me for centuries."


Et ça ne fit qu’empirer quand il entra dans l’adolescence. On dit souvent que c’est la période la plus difficile pour certain et pour lui, ce fut plus que le cas. Toujours autant hanté par ses rêves avec ce loup, toujours le même, mais c’était à chaque fois toujours un peu plus fort, plus intense. Mais c’était aussi là qu’on cherche qui on est, qu’on pense à l’avenir. Et l’avenir, il lui faisait peur. Voulant tellement plaire à ses parents, que pour lui, il n’y avait qu’en suivant leur voie à eux qu’il y arriverait. Alors il allait au lycée, juste parce qu’il devait y aller, sachant pertinemment ce qu’il allait faire après, s’engager à l’armée. C’était comme ça et pas autrement. Son sac sur le dos, il marchait souvent les mains dans les poches, l’air désintéressé et agacé. Il n’aimait pas grand monde et la plupart du temps, il se battait, soit il gagnait, soit il perdait, mais jamais rien ne l’arrêtait. Totalement impulsif, il prenait vite la mouche.

Installé au fond dans sa salle de cours, son regard se perd dans la vue que lui offrait la fenêtre. Ses cours de chimie se trouvant au dernier étage lui donnait la vue sur toute la vallée, la forêt. Perdu dans ses pensées, il n’entend même plus les explications du professeur ni du garçon assis à côté de lui qui semblait avoir vraiment envie de lui faire la conversation. La tête appuyée sur sa main, il n’avait envie que de fuir cet endroit. Puis un sursaut le coupa de ses pensées, les réprimandes et le coup sur le bureau du professeur en étaient la principale raison. « Knight, tu ferais mieux de m’écouter que de rêvasser. » qu’il fit, alors que l’adolescent leva ses yeux bleus vers lui de son air insolent « Y a rien à écouter. » qu’il lui cracha alors. Cherchant évidemment à se faire virer, il préférait encore passer une heure en colle. C’est d’ailleurs là où il se retrouva quelques minutes plus tard. Le regard exaspéré du surveillant voulait tout dire, il l’y trouvait malheureusement tout le temps. Si Joel faisait ça, c’était parce qu’il savait qu’il allait retrouver son acolyte, le seul avec qui il semblait s’entendre. C’était lui aussi un petit con, certainement bien pire que Joel qui mise à part ses échanges de coup de pied et son insolence était encore bien sage à côté de l’autre. S’il devait y avoir une hiérarchie dans le lycée, Cameron serait tout en haut, c’était clairement lui qui faisait sa loi, selon ses règles et ses critères. Une brute à l’état pur, il était le capitaine de l’équipe de rugby du lycée et pourrissait la vie à tous ceux qui pouvait passer à travers de son chemin. Et malheureusement, il influençait Joel de la manière la plus négative qu’il soit. Inséparable, il n'était pas rare qu’il soit impliqué dans ses conneries. L’adolescent se cherchant encore, c’était facile pour le blond de le manipuler. Faisant aussi partie de l’équipe de rugby, il n’était pas rare qu’il se trouve dans le vestiaire avec les autres.

C’est d’ailleurs là que ça se compliqua pour Joel. Parce qu’alors qu’il se changeait, son regard se perdit dans le reste de la pièce et là, son corps réagit d’une façon assez étrange, qu’il ne lui fallut que quelques secondes pour aller s’enfermer dans une douche. Pourquoi son corps réagissait de la sorte ? Étaient-ce seulement les hormones qui le travaillaient maintenant que la puberté avait montré le bout de son nez ? Il était entouré que de garçon, pas de fille, son corps était censé réagir de cette manière devant une jolie poitrine, pas un garçon. Se sentant extrêmement mal, il disparut avant le match, allant s’enfermer chez lui, rentrant comme une furie. Il resta l’intégralité de la soirée, enfermé dans sa chambre sans dire un mot à qui que ce soit. Sa mère avait essayé de le raisonner à travers la porte, mais ça ne fit absolument aucun effet. Ne supportant absolument plus les réprimandes à travers la porte, qu’il finit par s’enfuir de la maison par la fenêtre. Se dirigeant alors vers la forêt où finalement, il finissait toujours par y retourner, c’était devenu son petit coin secret. Marchant dans les petits chemins, sautant au-dessus des minuscules ruisseaux qui s’y trouvaient. Il finit par trouver son coin, donnant sur la ville, la surplombant. Il avait l’impression d’être libre, de pouvoir y respirer. C’était certainement le moment où il avait le plus besoin de conseil, mais il n’avait pas envie de parler de ce qui était arrivé, à personne. Et alors qu’il était enfin calme, voilà que son téléphone se mit à vibrer dans sa poche. Ce n’était rien d’autre que Cameron, qui l’insultait de tous les noms à cause de son absence. Et allez dire au plus gros macho de l’univers que des mecs lui ont fait de l’effet, ce n'était pas le meilleur plan. Il savait déjà ce qu’il risquait de lui faire subir. Alors il avait répondu de la manière la plus désinvolte possible, prétextant qu’il était malade. Bien sûr Cameron n'avala pas vraiment ses excuses, mais il finit par lui lâcher la grappe.

Après cet évènement, Joel tenta simplement d’oublier ce qui s’était passé et de faire sa vie, bien qu’en réalité ça le hantait, il avait peur que ça recommence et qu’on le voit. Rentrant d’une journée banale, il comptait rentrer dans sa piaule et en sortir que pour le dîner, mais son père lui ordonna de se ramener dans le salon, sentant déjà la prise de bec, il y alla à reculons. Nerveux au possible, il se retrouva dans le salon, droit comme un piquet. « Tu restes beaucoup trop dans ta chambre, il faut que tu passes du temps en famille. Et tu dois t’informer, alors à partir de maintenant tu regardes les informations avec nous. » Que le père lui fit et le brun s’y plia sans vraiment chercher à se rebiquer, simplement parce qu’il respectait trop ses parents et qu’ils étaient les seuls à vraiment l’intimider. S’asseyant alors au bord du canapé, les bras croisés, pas vraiment ravis d’être là, il regarda la télé sans vraiment grand intérêt. Du moins jusqu’à ce qu’il parle d’un sujet qui attira son attention, parce qu’il devait se rendre à l’évidence, qu’il n’avait plus de doute à avoir. Le sujet de l’information était sur l’homosexualité dans on ne sait quel pays, mais alors qu’il écoutait son père coupa le silence : « Ce sont des erreurs de la nature, ils ne devraient pas exister. Je suis bien content que nos fils soient bien élevés, je ne veux pas de ces merdes sous mon toit. ». De là, l’adolescent déglutit, sa peau devint pâle comme un linge. Tentant de se cacher, regardant son téléphone de façon totalement nerveuse, il se reçut une tape sur l’épaule, pour qu’il lâche sa machine. Le reste de la soirée, il resta silencieux, se contentant d’écouter à moitié la discussion de ses parents et de son frère. Ce qu’avait dit son père était passé comme un électrochoc, rendant la chose encore plus compliquée à accepter. En fait, il n’accepta simplement pas. Parce que son père avait été clair, il ne devrait pas exister. Et lui qui cherche que leur reconnaissance ne pouvait que d’autant plus mal le vivre.

"You don't know.
No you don't know.
You're all alone,
You poor unfortunate soul.
You can't control where your body let's you go.
You're all alone,
You poor unfortunate soul."


Et grandissant, les choses n’allèrent pas en s’arrangeant. Rejetant en bloc cette partie de lui-même, il se mit à sortir avec des filles. Demandant même conseil à Cameron, ce dernier se faisait un plaisir monstre de lui faire de grand discours de comment lui, il fait. Évidemment, il n’était pas vraiment à l’aise, mais, il préférait ça, à être ce monstre. Continuant sa carrière de mauvais garçon, il collectionnait les heures de colle comme il aurait pu le faire enfant avec les badges sur sa console sur un jeu suffisamment connu pour ne pas être cité. Et finalement, le lycée se termina enfin, pensant que son calvaire allait s’arrêter. Ne se rendant pas compte que ce rejet envers lui-même allait le ronger petit bout par petit bout. Parce que sous ses airs d’insolent, se cachait bien un garçon complètement paumé, quelqu’un qui ne trouvait pas sa place. Il n’attendit pas très longtemps avant de s’engager. Ses résultats scolaires étaient tellement mauvais qu’il n’avait pas vraiment d’autre choix de toute façon. Chose qu’il n’avait pas prise en compte était la pression qu’allait soudainement lui mettre son père sur les épaules. Parce qu’il ne devait surtout pas lui faire honte, il devait faire comme lui, monter en grade, au plus haut parce qu’il était un Knight. Et sa plus grande angoisse était bien ça, faire honte à leur famille. Il était déjà une erreur de la nature, autant ne pas en rajouter.

Ses premiers mois à l’armée furent difficiles, d’autant plus que Cameron n’avait pas trouver mieux que de le suivre dans sa voie, parce que c’est fait pour les durs. Et plus les jours passèrent plus on voyait qu’ils ne faisaient pas parti du même monde. Lui, qui avait pris la fâcheuse habitude de rejeter les ordres et d’être complètement insolent, avait appris à la dure le respect et les ordres. Mais ça ne le fit pas reculer, il travailla d’arrache-pied, tout ça pour pouvoir rendre fier son père et peut être que comme ça, il l’accepterait. Le naïf. Tout ça dérapa bien vite, deux ans plus tard alors qu’il atteignait finalement ses vingt-et-un ans, il avait fini par s’intégrer un minimum, restant toujours au côté de Cameron qui continuait de l’influencer à sa manière. Alors qu’il était dans sa chambre, il lisait un magazine et faute à pas de chance, son corps encore une fois lui fit défaut. Il refusait pourtant catégoriquement ça, mais la nature est comme ça. Malgré la honte et le dégoût, il se laissa emporter par ses envies et son corps. Pensant être en paix, il fut plus ou moins interrompu lorsqu’il y eut du brouhaha dans le couloir, qui se rapprochait de sa porte. Pour finalement l’ouvrir. « C’était moins une » qu’il se disait. L’idiot avait encore le magazine sous la main. Un des gars prit le magazine, puis son regard fit le chemin, entre les pages et Joel. Le brun, mal à l’aise se faisait petit dans son lit, n’arrivant pas à retranscrire ce que l’autre pouvait bien penser. Puis l’autre appela les autres, puis regarda Joel. Comprenant alors ce qu’il allait lui arriver, il se recula contre le mur tandis qu’on l’attrapa par le col. Il avait toujours été la tête de turque, où qu’il aille, c’était comme une malédiction.  Se retrouvant dans un couloir, il se reçut des insultes, on le bousculait. Leur discours étaient clairement haineux. Tout pour mettre mal à l’aise le brun qui détestait pourtant plus qu’eux ce qu’il était.

Puis finalement, les bousculades se transformèrent en coup, tentant de se protéger seulement, n’arrivant pas à se défendre, car au fond de lui, il avait le sentiment que c’était ce qu’il méritait. Il n’était qu’un monstre. Les autres s’acharnaient sur lui plus, il ne réagissait plus, pensant simplement au pire. Il avait craqué une fois. Une. Et le voilà à récolter les fruits de ses péchés. À croire qu’il y avait une force là-haut pour le punir. Ou alors n’était ce que le lourd pois d’un potentiel du loup, à devoir porter le lourd fardeau d’être un outsider, un type mal vu. Et pourtant, pourtant, il aimerait faire partie d’un groupe, d’une meute.


"Do you ever wonder
Who took the light from our life?
The life from our eyes?
All we did was suffer
Why couldn't we just say
You took my heaven away"

Mais alors qu’un levait le bras pour lui en mettre une, son bras se fit retenir. Joel releva ses yeux bleu brillant, bientôt inondé de larme et tremblant vers la personne. Il n’arrivait même pas à savoir s’il était sauvé ou non. Cameron était là et il ne savait absolument pas ce qu’il allait faire. Il pourrait très bien se retourner contre lui. Il en était capable. Mais à croire qu’il y avait de la loyauté qui coulait dans son sang car c’était les autres qui s’en prirent dans la figure. Ils finirent par déguerpir tandis qu’il se retrouva seul avec son ami d’enfance. Debout devant lui qui était roulé en boule contre le mur, il croisait les bras, le regardant d’un regard particulièrement froid. Joel n’osait même pas le regarder. Il se doutait très bien ce qu’il pensait de lui à ce moment-là. Le silence était extrêmement pesant, tandis qu’il tentait de se redresser, mais la douleur était forte dans son corps meurtrie. Puis finalement, un simple soupire coupa le silence, le blond se baissa, non pas pour l’aider à se relever mais à lui pousser doucement la tête. « Allez, tu vas t’en remettre, princesse », qu’il lui fit. Puis il partit simplement, les mains dans les poches, un peu plus loin dans le couloir, il s’arrêta, pour rajouter « T’as une dette envers moi. Tâches de pas l’oublier. ».

Pendant ce temps, Joel lui, arrivait pas à avaler ce qui lui arrivait, comme s’il allait s’en remettre aussi facilement. Les idées noires avaient pris possession de son crâne, il ne pensait plus qu’à une seule chose et même si Cameron l’avait sauvé, il ne l’avait pas vraiment fait. Il était encore loin de l’être. La scène tournait dans sa tête et plus il se la repassait, plus il pensait à mettre fin à tout. Ne supportant pas ce qu’il est.  Et finalement, il pesait le pour et le contre, se demandant à qui il pourrait bien manquer.  À personne, il en était tellement persuadé que son choix était vite fait. Arrivant à se relever au bout de longue minute de souffrance, il se tenait le ventre et au mur pour tenter de rejoindre sa chambre. Attrapant son sac où se trouvait ses affaires et son uniforme, il attrapa son couteau de chasse, plus rien d’autre ne tournait dans sa tête. Rien ne l’arrêterait. Assis sur le lit, il commença d’abord à simplement fixer le couteau, cogitant encore, des heures et des heures, l’arme blanche tournait dans ses doigts, frottait leur bout, allant chatouiller cette peau si fragile. Puis finalement, elle s’approcha de son poignet, lentement, mais sûrement, la pointe allant effleurer sa veine, caressant la petite épaisseur de peau qui la protégeait. Puis il appuya avec légèreté, une bulle de sang apparut sous la lame froide. Et d’un coup, un flash, le loup. LE loup, ce loup blanc qui lui paraissait si grand petit, venait d’apparaître comme un flash de lumière. Il se frotta les yeux, regarda autour de lui, comme s’il y avait un espoir. Mais la pièce était complètement vide. Aussi vide que son cœur, vidé de toute envie de vivre. Joel avait toujours répondu à ses appels, par les rêves, par tout. Mais ce loup, il n’est pas là. Il délirait, c’était tout, c’était qu’un rêve de gamin et le gamin, il était mort, enterré, loin. Il n’était plus dans son cœur. Son cœur n’était que poussière, meurtri par la haine qu’il portait envers lui-même. Se pinçant la lèvre, qui n’arrêtait pas de trembler à cause des sanglots qui le prenait à la gorge. Ses yeux brûlaient, son nez lui lançait, tout comme ses cotes. L’intégralité de son être était une torture. Et finalement, il appuya encore plus, son geste fut lent et finit par rejoindre l’autre côté de son poignet, créant une entaille assez longue. Il ne pensait plus à rien, il regardait le sang lentement sortir de la plaie, sentant déjà son corps partir. Il ne pensait pas qu’il était déjà cinq heures du matin et que son sergent allait passer dans sa chambre pour appeler les troupes comme chaque jour à cette heure-ci.

Alors que ses yeux se fermaient et qu’il pensait enfin être débarrassé du poids de la vie, les choses s’agitait autour de lui, transporter à l’hôpital le plus rapidement possible. C’est le lendemain, qu’il se réveilla, il avait perdu une quantité astronomique de sang, mais il avait pu être sauvé, de justesse. Son groupe sanguin lui avait simplement sauvé la vie. Ses paupières s’étaient difficilement ouvertes et dieu sait qu’il ne voulait pas les rouvrir. Paniquant sur le coup d’autant plus quand il remarqua les liens qui le tenait au lit, il regarda ensuite autour de lui et là, il tomba nez à nez avec son père et… Cameron. Lui, pourquoi il était là ? Son regard humide et fatigué n’arrivait pas à bien analyser la scène. Mais ça n’annonçait encore rien de bon. « Ton ami m’a tout expliqué, Joel. » qu’il dit.

C’était fini, il savait, qu’il se disait. « Tu aurais dû m’en parler, t’es mon fils, je suis là pour ça » qu’il rajouta, choqué, il crut être enfin libéré. Il regarda son père, maintenant soudainement libéré de ses peurs, presque rassuré. « Je suis désolé… » que sortit de sa bouche alors qu’il hoquetait sous les sanglots qui revenaient dans sa gorge. « Repose toi. », et voilà que le père partit en premier, le laissant seul avec Cameron. Le blond voyait très bien l’état de son ami, il détestait ça, voir quelqu’un de si… faible. Il ne pouvait pas se retenir de lui faire comprendre. Alors il commença à se moquer de lui, s’approchant du lit, il se baissa et alla pincer la joue de son ami tout en lui disant : « Il a oublié de faire un câlin à sa petite princesse, le Joel Senior. », sauf que le brun n’avait pas envie de rire ni de recevoir ses remarques à la con. Jamais jusque là il ne lui avait vraiment pris tête, se contentant de le suivre partout sans rien dire, mais aujourd’hui, ça aussi c’était fini. Alors d’un coup de nerf, il le cogna à l’aide son crâne « Lâche moi, sale con. » qu’il lâcha même tandis que l’autre recula sous la douleur. Les deux avaient mal, les idiots. Le grabuge attira le personnel hospitalier qui ne manqua pas de dire au blond de partir. Le brun, le nez en sang grommelait dans son coin. Il finit par laisser l’infirmière faire son travail, le regard fixant le vide.

Sonné, il avait encore du mal à avaler tout ce qui s’était passé dans l’espace de ces quarante-huit heures, son envie de mourir s’était légèrement estompé, sûrement grâce aux paroles de son paternel, qui malheureusement n’était que poudre aux yeux, juste pour ne pas pousser son fils à recommencer, sûrement. Il était dur et pour lui, son acte n’était qu’un acte de faiblesse. Mais ça, Joel ne le savait pas. Il n’avait entendu que ses paroles, il n’avait pas vu son regard, ses mensonges à travers l’expression de son visage. Alors qu’il regardait par la fenêtre, il eut encore un flash, comme la veille, le loup, toujours le même, en train de le regarder à travers la fenêtre, mais qui partit aussitôt en courant. « Reviens… » qui sortit de sa bouche. « Oui, monsieur, il vous faut quelque chose ? » que l’infirmière fit, le coupant de sa transe. Il la regarda, ne comprenant pas pourquoi elle lui demandait ça. « Non… C’est bon, merci. » qu’il avait répondu, recommençant à fixer la fenêtre qui montrait le parc de l’hôpital.

"But then I get high
Tell myself the white lie
That blind faith would make
Everything alright
That I'd walk on water
Like when I was younger"

Puis après quelques jours d’observation et un passage obligatoire chez un psychiatre, il avait pu parler de tous ses problèmes, ce qui se passait au fond de son crâne. Et la semaine avait été une sorte de libération, ses envies de mourir étaient finalement parti. Son élan de courage face à Cameron lui avait donné des ailes. Il pensait enfin vivre, il se sentait capable. C’est exactement ce qu’il avait expliqué au psychiatre, qui lui avait prescrit des médicaments contre l’anxiété et l’angoisse, mais qui avait conclu qu’il pouvait repartir. Il l’invita cependant à continuer de venir le voir, qu’il avait besoin d’aide. Et alors qu’ils étaient sur le pas de la porte, il lui avait tendu un fascicule, d’une association LGBTQ+, lui disant qu’ils pourraient mieux l’aider à ce sujet, l’aider à s’accepter. Mais ce sujet était encore le seul tabou, c’était le sujet qu’on n’aborde pas. Parce que malgré tout, Joel rejetait cette partie de lui en bloc. Il l’avait quand même pris, se disant qu’il devrait l’écouter. Ce qu’il fit, quelques jours après, mais à peine, il était rentré dans la salle qu’il en est ressorti aussitôt. Ça passait pas, ça le dégouttait toujours autant. Non. Il ne serait pas gay. Il sera hétéro, parce que c’était ça ce qui était normal rien d’autre. Qu’il se répétait, l’idiot.  

Il avait d’abord passé du temps dans son propre appartement, du moins celui que l’armée lui avait prêté, mais il devait le rendre bientôt pour retourner prendre du service. Ce n’était que le temps de suffisamment cicatrisé. Son premier jour de service fut alors arrivé, le matin il devait rejoindre son père qui lui avait proposé de le déposer. Mais encore une fois, rien ne se passe comme il le faut. La poudre aux yeux était terminée, il était prêt à entendre ce qu’il avait à dire. Tous les deux sur les escaliers de l’entré du régiment, son père le regarda droit dans les yeux, commençant ainsi son discours. Lui expliquant qu’il lui faisait honte, que ça ne l’étonnait pas, qu’il avait toujours été le mouton noir de la famille. L’écoutant, Joel tentait du mieux qu’il le pouvait de rester calme, stoïque. Et pour la première fois, il avait eu envie de se rebeller contre son père. Pourtant il l’admirait, c’était même un modèle. Ravalant ses sanglots qu’il déglutit, il laissa son père partir sans un bruit, restant immobile, finissant par essuyer la larme qui s’était emparé de sa joue. Regardant la bâtisse, son regard sur le monde changea. Allait-il continuer à se morfondre ? Ou allait-il enfin prendre sa putain de vie en main ? La réponse fut sans attente, la deuxième option. Il voulait être libre. Libre de ses choix, libre dans sa tête. Il ferma les yeux une nouvelle fois, respirant l’air frais, laissant la brise caresser sa peau. Il était fin prêt. Il grimpa les escaliers, sautant une marche sur deux, entra, ses affaires dans son sac, il se présenta devant son supérieur hiérarchique, lui tendit son sac, lui expliquant qu’il donnait sa démission.

"Legends never die when the world is callin' you
Can you hear them screaming out your name?
Legends never die, they become a part of you
Every time you bleed for reaching greatness
Relentless you survive"


Quitter l’armé le libéra d’un nouveau poids, il respirait déjà un peu plus. Certainement un décision impulsive, mais c’était ce qu’il était, toujours à la recherche de la liberté, d’une identité. Rentrant dans l’appartement qu’il allait alors devoir rendre, il fit toute les annonces d’offre d’emploi. Prenant d’abord un petit boulot dans une ferme, il devint ami avec le propriétaire, qui se faisait déjà bien vieux, qui n’arrivait plus à gérer son immense grange en ras de forêt. L’endroit parfait pour Joel qui aimait tant ce genre d’endroit. Le vieux finit par lui proposer de vivre là-bas, en l’échange de travaux et d’aide dans ses champs et ses élevages. Joel sentait qu’il manquait quelque chose à sa vie, le vieux l’avait senti, il sentait qu’il avait besoin de se battre, constamment. Alors il lui avait présenter son petit-fils, boxeur. Les deux firent connaissances et l’autre lui fit découvrir sa passion. Très intéressé, il se laissa même tenter d’aller suivre un cours un soir. Pendant tout ce temps, les flash étaient de plus en plus fort, comme si la présence du Loup se rapprochait. Jusqu’à ce fameux jour, alors qu’il s’occupait de rentrer les moutons dans leur enclos, il le vit. Il comprit naturellement que ce n’était pas une menace. C’est LUI. Son regard s’illumina, tandis que sur son avant-bras, comme recouvrant sur sa cicatrice, trois points prirent formes sur sa peau. Il était élu du Loup, tout pris sens maintenant qu’il le voyait. D’abord à distance de lui, il finit par s’approcher, son cœur d’enfant reprit vie en lui, il avait envie de le serrer contre lui, comme s’il rencontrait enfin l’ami de toute sa vie. Mais il se retint, par respect, il était si beau à ses yeux, il émanait une aura positive, qu’il n’avait encore jamais ressenti. Devenant enfin quelqu’un. Le loup le complétait entièrement. « T’es enfin là… » qu’il s’était perdu à dire, bien qu’il savait qu’il n’en avait pas besoin. Mais c’était un simple reflex.  Vivre à coté de cette forêt était vraiment le mieux pour eux, le loup pouvait s’y cacher et Joel pouvait le voir quand il voulait. Du moins, c’est ce qu’il s’était dit, mais le loup se transforma en louveteau, taché de brun, et de roux. Comprenant ainsi, qu’il pourrait l’accompagner, s’il le souhaitait, comme s’il était son chien, bien qu’il était bien mieux aux yeux de Joel.

La présence de son anima boosta clairement sa vie, bien que ça ne le transforma pas pour autant en homme parfait, parce que le brun ne l’était pas, pas du tout. Ce qui lui était arrivé lui pesait toujours, ce sera toujours là pour lui rappeler d’où il vient. Toujours sur la défensive, il n’est pas rare qu’il soit particulièrement agressif ou froid. Et l’absence des ordres d’un supérieur a fait revenir ses petits démons. Insolent et sarcastique, il se cache derrière cette armure. Mais ça lui a permis de se faire une place quelque part. Comprenant enfin les valeurs de vivre en groupe à travers son loup, il s’intégra au club de boxe, où de fil en aiguille, en fit même sa vocation. Participant d’abord à des tournois pour le défi, il grimpa de ladder en ladder. Finissant simplement par en faire son métier à plein temps, continuant d’aider le fermier à côté appréciant sa vie là-bas, il l’aidait même financièrement, l’aidant à réparer ce qui était casser, remplacent les machines défectueuses. Il était reconnaissant envers lui parce qu’il était en partie celui qui lui avait permis d’en être là. Il évoluait enfin correctement dans sa vie, découvrant ses capacités au fur et à mesure. Son animas lui fit aussi savoir l'existence de l'alliance, mais Joel préférait rester à l'écart de tout ça, parce que ce genre d'organisation était nocive pour lui, voyant ça comme l'armée bien qu'il ne doutait pas de leur bonnes intentions, il préférait simplement rester à l'écart, ne comptant de toute façon pas s'en prendre à qui que ce soit et encore moins se servir de son loup contre quelqu'un ayant trop de respect et d'affection envers lui. Ce qui fait maintenant que le Loup fait parti intégrante de sa vie, ne se voyant pas vivre sans.


Et côté créateur ?
Je m'appelle Soraya, j'ai 24 ans et je viens de France. J'ai découverts Instincts grâce à vous. J'ai une fréquence de réponses aux RPs d'environ 1 fois par semaine. J'ai pris le temps de lire toutes les annexes, et je m'engage à respecter le règlement. Je souhaiterai rejoindre discord : oui.

Quelque chose à ajouter ? //
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Joel N. Knight
Age : 41
Lettres déposées : 154
Anima : Loup
Métier : Fermier / boxeur professionnel.
Crédits : Ava (Hoodwink)





Joel N. Knight
Affranchi
Lun 6 Aoû - 2:56
Coucou @Les anciens, j'ai terminé ma fiche, désolé de la longueur, mais ayant cogité un bon moment, j'avais imaginé beaucoup de chose et j'avais très envie de les raconter **

J'ai passé un coup la bio au correcteur j'espère que y a pas trop de faute ni de mot qui sont pas à la bonne place... J'ai essayé de relire mais là j'suis explosé je vois plus rien :DD

En espérant que tout convient, j'ai beaucoup beaucoup raconter beaucoup de chose, j'espère avoir assez fait transparaître son lien et ses communications avec son loup malgré le fait que je me sois attardé sur des moments de sa vie ! D:

Bon j'arrête d'écrire, je blablate, je blablate... Bref.
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Les Anciens
Lettres déposées : 236





Les Anciens
Administrateur
Mer 15 Aoû - 20:26


Bienvenue Joel N. Knight !

Maintenant que ta fiche est validée, tu peux jouir des droits accordés aux joueurs. Un rang et un groupe te seront attribué en fonction de ton espèce et de ta position. Tu peux dorénavant publier dans la partie jeu tes RPs ou dans la zone membre pour publier tes récapitulatifs notamment.

L'avis des administrateurs sur ton personnage :
Un personnage torturé comme on aime ! Nous avons hâte de te voir le faire évoluer au sein d'Instincts ! Wink
Profite de ta liberté. Ethan n'est pas encore arrivé.

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